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Activité : Veille

Descriptif : The ALLICE Alliance has published a new public report on industrial load shedding. Despite significant benefits, such as improving grid reliability and reducing CO2 emissions, industrial load shedding has been slow to develop. For what reasons? How can it be put into practice? What are the benefits of load shedding for industrial users? This new four-part public report provides an overview of industrial load shedding in France. 


definition of industrial load shedding


Load shedding is defined as a means of flexibility that improves the reliability of electricity networks and helps to reduce CO2 emissions.
The electricity network requires a permanent "real-time" balance between electricity production and consumption in order to ensure a high quality of electricity supply and to avoid the risk of blackouts. Load shedding is the process of reducing consumer demand for electricity for a defined period of time in response to an external signal (e.g. a request from the network operator or a price signal). Load shedding is therefore one of the solutions to manage network imbalances.

The content of this public report is based on the complete study "Load shedding industrial processes" reserved for members, and published in 2024. 


A 4-part report to understand the challenges of industrial load shedding

  • Industrial load shedding, a more exploitable means of flexibility in France:  The aim of this first part is to give an overview of industrial load shedding in France: objectives, exploitable resources, remuneration levels, etc.
  • The load shedding value chain and its operational implementation: The second part presents the actors involved in the load shedding value chain and the process of implementing load shedding at an industrial site.
  • Technical and economic barriers that need to be overcome to maximise the potential: This section lists and details 7 barriers to implementing load shedding for industry.
  • Methods, tools and recommendations for industrial players in load shedding: In this final section, several situations are presented, along with the associated decision making methods.

Domaine d'intervention : Intégration d'énergies alternatives

Activité : Veille

Descriptif : L'Alliance ALLICE publie une nouvelle étude sur l'effacement dans les unités de production industrielles. Malgré des avantages non négligeables, comme l'amélioration de la fiabilité des réseaux électriques, ou encore la diminution des émissions de CO2, l’effacement industriel tarde à se développer. Pourquoi ? Comment le mettre en œuvre de façon opérationnelle ? Quels sont les bénéfices pour les industriels qui ont recours à l'effacement ? Ce nouveau rapport public en quatre partie propose un état des lieux global de l'effacement industriel en France.


L'effacement : de quoi parle-t-on ?


L’effacement électrique se définit comme un moyen de flexibilité permettant d’améliorer la fiabilité des réseaux électriques ainsi qu’un outil de baisse des émissions CO2.
Le réseau électrique nécessite un équilibrage permanent et en « temps réel » entre production et consommation d’électricité afin de garantir une fourniture d’électricité de bonne qualité et d’éviter les risques de black-out. L’effacement consiste à faire baisser la demande en électricité de consommateurs, pendant une période définie, en réponse à un signal extérieur (par exemple, sollicitation de la part de l’opérateur de réseau ou bien un signal de prix). L’effacement est donc une des solutions permettant de gérer les déséquilibres du réseau.

Le contenu de ce rapport public est basé sur l'étude complète "Stratégies d'effacement des procédés industriels" réservée aux adhérents et publiée en 2024.


De l'état des lieux aux méthodes : 4 parties pour comprendre les enjeux de l'effacement industriel

  • L'effacement industriel, un moyen de flexibilité davantage exploitable en France : Cette première partie vise à présenter un état des lieux de l'effacement industriel en France : objectifs, gisements exploitables, niveaux de rémunérations etc.
  • La chaine de valeur de l'effacement et sa mise en place opérationnelle : La deuxième partie présente les acteurs présents durant toute la chaîne de valeur de l'effacement, ainsi que le processus de mise en place de l'effacement sur un site industriel.
  • Des verrous techniques et économiques  à lever afin de maximiser l'exploitation du gisement : Cette partie liste et détaille 7 freins à l'implémentation de l'effacement pour les industriels.
  • Méthodes, outils, et recommandations à destination des acteurs industriels de l'effacement : dans cette partie finale, plusieurs situations sont présentées avec en miroir des méthodes de décision qui leur sont associées.

Domaine d'intervention : Intégration d'énergies alternatives

Activité : Études pour les adhérents

Descriptif : L'encrassement des échangeurs représente un obstacle important pour les industriels qui hésitent à investir dans les projets d’efficacité énergétique intégrant de la récupération de chaleur fatale. Ce rapport présente un état de l'art des solutions disponibles pour lutter contre l'encrassement des échangeurs et améliorer la performance des systèmes de récupération de chaleur.

Le rapport rappelle les différents types d’encrassements (particulaire, par corrosion, biologique, par réaction chimique), et les impacts technico-économiques de ce phénomène. Il présente également différentes solutions pour pallier ces inconvénients. Le choix de l’échangeur constitue la première partie de la solution, sous réserve de son dimensionnement correct. La deuxième partie de la solution nécessite l’emploi de technologies complémentaires à l’échangeur. 

La méthodologie de recueil des solutions existantes est basée sur la bibliographie du domaine, complétée par des interviews avec des offreurs de solutions de technologies innovantes du secteur.

Domaine d'intervention : Efficacité énergétique

Activité : Animation de la filière

Descriptif : Le webinaire de restitution de l'étude "Décarbonation de l'industrie agroalimentaire" s'est tenu le 19 mars 2024.

Cette étude est réalisée par le CTCPA, le CRITT PACA, et le CEREN.

Avec les interventions de : Marie-Pierre Labau (CTCPA) ; Vincent Moret (CTCPA) ; Nicolas Lehebel (CTCPA) ; Nicolas Belaubre (CTCPA) ; Yvan Deloche (CRITT PACA) ; Frédéric Streiff (CEREN) ; Violaine Pistre (Yoplait) et Emeric Cadalen (Fruit Gourmet)

Au programme :

  • Introduction
  • Champ de l'étude et enjeux énergétiques - CTCPA & CRITT
  • Méthodologies et sélection des procédés étudiés - CTCPA
  • Cas d'étude n°1 : Stérilisation et pasteurisation - CTCPA & CRITT
  • Retour d'expérience industriel - Yoplait
  • Cas d'application Yoplait (pasteurisation cas d'étude n°1 et NEP cas d'étude n°2) - CTCPA & CRITT
  • Cas d'étude n°3 : Séchage - CTCPA
  • Retour d'expérience industriel - Fruit Gourmet
  • Synthèse des cas d'étude restants - CTCPA
  • Extension des solutions de décarbonation aux différents sous-secteurs de l'IAA - CEREN

Domaine d'intervention : La décarbonation en un coup d'oeil

Activité : Études pour les adhérents

Descriptif : La présente étude offre une exploration de l’éco-conception des procédés industriels, mettant en évidence les différentes approches et niveaux d’application de cette démarche. Son objectif principal est de détailler l'état actuel des méthodes disponibles visant à atténuer l'impact des sites industriels et de leurs procédés de fabrication.

Réalisée par le Pôle éco-conception, cette étude s'appuie sur l'expertise du secteur, des échanges avec des industriels engagés dans des pratiques environnementales, et la consultation d'articles scientifiques

L’éco-conception est une démarche qui vise à réduire les impacts environnementaux d’un système (produit, service, organisme) tout au long de son cycle de vie, de l’extraction des matières premières jusqu’à la fin de vie.

Si l’écoconception est historiquement associée à une approche centrée sur le produit ("approche produit"), elle peut également s’appliquer à une entreprise dans sa totalité, en prenant en compte l’ensemble de ses produits, services et processus. On parle alors d’approche organisme, qui considère les impacts environnementaux de manière holistique. Cette dernière peut être mise en oeuvre à travers la création d’un Système de Management Environnemental (SME).

Le choix de l’approche la plus adéquate doit s’appuyer sur une phase d’évaluation et d’identification des enjeux environnementaux liés spécifiquement aux activités industrielles du site. Une fois cette phase d’évaluation menée et afin de faciliter la prise en compte des enjeux environnementaux, les entreprises peuvent alors opter pour une des deux approches.

Domaine d'intervention : La décarbonation en un coup d'oeil

Activité : Études pour les adhérents

Descriptif : Le réseau électrique nécessite un équilibrage permanent et en « temps réel » entre production et consommation d’électricité afin de garantir une fourniture d’électricité de bonne qualité et d’éviter les risques de black-out.
L’effacement consiste à faire baisser la demande en électricité de consommateurs, pendant une période définie, en réponse à un signal extérieur.

L’effacement industriel s’appuie sur les consommations des sites industriels pour fournir de la flexibilité au réseau électrique. Il s’inscrit dans un contexte favorable porté par des besoins d’équilibrage du réseau électrique de plus en plus important et une électrification massive de l’industrie qui va accroitre le gisement d’effacement disponible. L’effacement permet également de réduire le contenu carbone de l’électricité en limitant le besoin d’activation des moyens de production de pointe.

La France s’est donné dès 2018 des objectifs ambitieux en matière de développement de l’effacement : 6,5 GW de capacité contractualisée à horizon 2028 avec un point de passage à 4,5 GW en 2023 (contribution industrielle, résidentielle et tertiaire). Pour autant, en 2023, la filière n’atteint pas ces objectifs (3,9 GW fin 2022).

Face au décalage entre ambition et développement réel de la filière de l’effacement, cette étude vise à détailler la mise en place opérationnelle de l'effacement par typologie d’industriel, d’identifier les principaux freins à l’adoption et de proposer des leviers pour atteindre les objectifs et trajectoires d’effacement fixés par la PPE et RTE.

  • Afin de remplir ces objectifs, l’étude rappelle tout d’abord le gisement industriel d’effacement estimé par l’ADEME en 2017 et estime le gisement additionnel apporté par l’électrification des procédés sur la base d’une précédente étude ALLICE.
  • L’étude détaille ensuite la maturité de chaque secteur industriel en fonction de plusieurs critères de comparaison : l’exploitation actuelle du gisement technique, le gisement technique atteignable et les contraintes économiques.
  • Enfin, l’étude s’est appuyée sur des retours d’expérience concrets d’une quinzaine d’industriels pour identifier les freins au développement de l’effacement et proposer des leviers permettant à l’industrie d’apporter sa contribution active à l’équilibrage du réseau électrique et ainsi faciliter sa décarbonation.
À date, trois groupes de secteurs industriels émergent vis-à-vis de leur maturité et de leur participation à l’effacement :

  • Un premier groupe pour lequel l’effacement est pleinement capté (ex. métallurgie),
  • Un second groupe pour lequel l’effacement est mis en place malgré des freins économiques et techniques (ex. chimie, agroalimentaire)
  • Un dernier groupe dans lequel on retrouve des secteurs qui ont faiblement voire pas du tout mis en place de l’effacement (ex. plasturgie).
L’étude émet également sept recommandations à destination des professionnels de l’effacement — agrégateurs comme gestionnaires du système électrique — ainsi que des industriels pour améliorer les conditions technico-économiques du marché et augmenter le gisement de flexibilité industrielle disponible en France.

Domaine d'intervention : Intégration d'énergies alternatives

Activité : Veille

Descriptif : Ce guide, commandité par GRDF et la Fédération Forge Fonderie, et conçu avec le concours d'ALLICE, de GRTgaz et du Cetim, s’appuie sur l’expertise technique du CETIAT, qui en est le rédacteur. Il est la première étape d'une démarche plus globale qui vise à identifier les actions immédiates et à bas coûts pour faire des économies d'énergies dans les filières industrielles.

Depuis la fin des tarifs réglementés, les prix du gaz et de l’électricité sont soumis aux variations des marchés. La forte reprise économique mondiale post-COVID et le conflit en Ukraine ont entraîné des augmentations extrêmement importantes des prix des énergies. Face à ces conditions nouvelles, les entreprises ont désormais mis au premier plan la maîtrise de leurs coûts énergétiques, et donc de leurs consommations. Dans les forges et les fonderies, l’énergie, principalement utilisée pour chauffer le métal, est une composante importante des coûts de production et de la compétitivité.

Pourtant, les entreprises de ce secteur, composées majoritairement de PME, disposent de moyens humains comme financiers limités à affecter à la maitrise de l’énergie. D’où la nécessité d'identifier des actions pragmatiques en matière d’efficacité énergétique sur les usages thermiques des procédés de forges et de fonderies avec un coût d'investissement faible et un temps de retour sur investissement rapide.

Ces bonnes pratiques d'optimisation et de réduction des consommations d'énergie constituent le socle de toute démarche de décarbonation. 

Le guide est composé de 18 fiches-actions réparties sous deux thématiques :

  • Actions techniques sur les fours et outils de chauffe : 11 actions
  • Actions organisationnelles ou de conception : 7 actions
Ces fiches-actions sont conçues pour être très opérationnelles et sont pensées à la fois pour les équipes présentes sur le terrain (production, maintenance, …) et pour les équipes de direction (décideurs, responsables d’études travaux, ...).
Chacune aborde le contexte et les enjeux, les avantages de l'action, sa mise en oeuvre, l'intérêt technico-économique de l'action, son financement et un retour d'expérience d'un fondeur ou d'un forgeron.

Domaine d'intervention : Efficacité énergétique

Activité : Veille

Descriptif : En tant qu’interlocuteur expert privilégié des pouvoirs publiques, ALLICE a été missionnée par la Direction Générale des Entreprises pour réaliser une étude sur le dispositif des certificats d’économie d’énergie. Une synthèse publique a été réalisée sur la base de l’étude complète, afin de partager ses enseignements principaux avec le plus grand nombre.

Depuis sa mise en place en 2006, le dispositif des Certificats d’Économie d’Énergie (CEE) est devenu un instrument essentiel de la politique française de maîtrise de la demande énergétique. Il incite et encadre la réalisation de travaux pour l’optimisation des consommations énergétiques dans les secteurs résidentiel, tertiaire, agricole, industriel, des transports et des réseaux. Dans le cadre des objectifs nationaux de neutralité carbone à l’horizon 2050, le dispositif des CEE apparaît comme un levier précurseur ayant fait ses preuves pour contribuer à la massification des actions sur le territoire.

Cependant, l’univers des CEE est caractérisé par ses règles propres, un écosystème complexe, et des évolutions régulières qui peuvent intimider le néophyte. Le phénomène est renforcé dans le secteur industriel, pour lequel des aménagements spécifiques ont été créés.

Dans ce contexte, la synthèse vise dresser une vue d’ensemble du dispositif des CEE et à apporter un éclairage sur ses divers mécanismes, avec pour public cible les acteurs industriels. Il est adapté tant pour comprendre le fonctionnement des CEE que pour ceux qui souhaitent approfondir leurs connaissances sur certains points précis.

Le document inclut donc :

  • La présentation des principes fondateurs du dispositif,
  • Un résumé de son historique et de ses évolutions majeures
  • L’explication détaillée de ses trois principaux mécanismes : Les opérations standardisées, les opérations spécifiques, et les programmes.
  • Des points de précision sur des particularités du dispositif : Les contrôles de conformité, la comptabilité des CEE, Le fonctionnement en cycle de périodes d’obligations
Il comprend également des documents pédagogiques telles qu’un glossaire pour mieux comprendre le vocabulaire des CEE et les rôles des parties prenantes, ainsi que des ressources supplémentaires pour aller plus loin.

Domaine d'intervention : Modèles économiques et financement

Activité : Études pour les adhérents

Descriptif : L'utilisation rationnelle de l'énergie, préoccupation importante dans le contexte de transition énergétique et de lutte contre le changement climatique, est également devenue ces dernières années un enjeu géopolitique majeur.

Parmi les solutions qui permettent de réduire les consommations énergétiques, la valorisation de la chaleur fatale des procédés (qui serait autrement perdue) est un levier incontournable. Afin de maximiser cette récupération, une valorisation multi-vecteurs énergétiques via la cogénération et la trigénération (production simultanée de l’électricité, de la chaleur, du froid ou de l’énergie mécanique) peut présenter un certain intérêt.

L'objectif de cette étude ALLICE est d'explorer les opportunités d'amélioration des performances des systèmes de valorisation de chaleur fatale en mettant l'accent sur les technologies (ORC, froid par compression thermique et chauffage), ainsi que de conduire des investigations sur les solutions de financement associées.

Domaine d'intervention : Efficacité énergétique

Activité : Études pour les adhérents

Descriptif : La décarbonation de l’industrie doit passer par une transformation des modèles d’affaires actuels vers des modèles plus durables. 
Un modèle d’affaires est un concept économique qui englobe toutes les activités d’une entreprise, sa création de valeur ainsi que ses relations avec ses parties prenantes, du fournisseur au client.

Les modèles d'affaires actuels reposent majoritairement sur une logique linéaire traditionnelle le long de leur chaine de valeur : extraction des ressources, production de biens matériels, consommation et fin de vie. La question de la transformation des modèles d’affaires industriels se pose alors pour atteindre nos objectifs de neutralité carbone. 

Il existe de nombreux exemples d’entreprises (industrielles ou non) ayant déjà fait pivoter leur modèle d’affaires au fil des évolutions technologiques, réglementaires ou du marché.
En particulier, la transition vers un modèle d’affaires de décarbonation consiste à mettre en place une stratégie d’entreprise permettant à la fois de dégager du bénéfice et de contribuer à l’atténuation au changement climatique.

L’objectif de cette étude est d’identifier des modèles d’affaires de décarbonation et de qualifier leurs avantages et applicabilité dans l’industrie.

L’étude s’est organisée en 3 phases d’analyse :

  • Élaboration d’une cartographie des modèles d’affaires
Définition du concept de modèle d’affaires de décarbonation en utilisant la représentation du Business Model Canvas

  • Identification et caractérisation des modèles d’affaires de décarbonation
Analyse approfondie des enjeux d’une sélection de modèles d’affaires

  • Sélection de trois modèles d’affaires à approfondir selon leur pertinence pour les adhérents d’ALLICE
Analyse reposant sur la littérature existante et sur la conduite d’entretiens avec des industriels ayant mis en place un nouveau modèle

  • Élaboration de recommandations à destination des adhérents

Domaine d'intervention : Modèles économiques et financement